Tandis que le parti pris d'une scénographie épurée, a fait "transpirer" (restons poli !) les hommes de l'art du CDN, le long défilé de cloisons s'est monté malgré tout.
Comme deux grandes ailes, les structures ont se sont déployées dans la nef avant d'atteindre la croisée du transept.
Et quelques rouleaux de peinture plus tard, c'est GRAPHIK qui pose les vitraux de Cueco.
Il faut reconnaître que lorsque la théorie devient concrète, un instant de magie opère…
Mais peut-être est-il dû aux sourires constants de ceux qui ont œuvré à bâtir cette cathédrale contemporaine…
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