 |
| A l'entrée de la maison de Cueco... |
Entrer chez Henri Cueco, c'est entrer en Facétie, territoire sur lequel il veille avec un parfait équilibre entre malice et sagesse.
Le parcours se fait au milieu d'incroyables trophées : bocaux ventrus de crayons taillés et de leurs chiures, assortiment de roches-cailloux-galets, urnes à la mémoire des bons et loyaux services d'outils du trait précieux qui s'accompagnent des œuvres des autres, des rencontres, de l'amitié.
Petit échange à Paris, dans sa maison, en compagnie des mites alimentaires et de Marinette, son épouse, qui ne savait plus comment se débarrasser de ces dernières.
Des mites décisives a dit Henri...
« Je ne suis pas un disciple de la culture de masse, je suis pour une culture d’engagement, pour que les gens participent. Pour aimer la peinture, pas besoin d’être cultivé. C’est toute l’histoire du Dialogue avec mon jardinier qui est une histoire vraie : deux incultes à leur manière qui réussissent à devenir des personnes qui respectent le travail de l’autre. »
Dans l'atelier...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire